Déficience mentale et méthodologies adaptées
Analyse réflexive
Le sujet de ce cours était : la vie affective, relationnelle et sexuelle chez les personnes déficientes mentales.
Tout d’abord, en plus des apports théoriques, il était intéressant d’écouter nos propres définitions de vie affective, abus,… néanmoins, la théorie nous permet de partir sur des bases communes.
Nous avons aussi pu voir des sortes de « projets d’établissement » spécialement conçus pour la vie affective et sexuelle au sein d’un centre par exemple. Dès lors, nous avons pu critiquer ce projet et pointer les éléments qui nous semblent plus importants.
Un autre aspect intéressant de ce cours est qu’on était constamment dans l’échange : entre étudiants mais aussi avec le professeur, ce qui est favorable à la construction de notre réflexion orthopédagogique.
J’ai aussi trouvé l’intervention très utile car je ne connaissais pas d’outils sur la vie affective et sexuelle. Non seulement nous avons pu voir des photos mais certains supports étaient disponibles. Nous avons donc pu les feuilleter et les regarder plus en détail. Certains outils sont faciles à réaliser et peuvent être utilisés dans d’autres domaines (exemple : le « j’aime/j’aime pas »).
Je pense que ce cours nous aide en donnant le plus d’éléments possibles : outils, supports, débats,… de cette façon, si on est amené à établir ce type de projet, on peut choisir par quoi on peut commencer selon ce qui nous semble être le mieux pour le public concerné.
Pour commencer je pense qu’il serait préférable de partir du public : a-t-il des demandes particulières ? Des interrogations ?
Si ce n’est pas le cas, je trouve qu’il faudrait parler des « pré-requis » à l’affectivité et à la sexualité, comme par exemple, la confiance en soi et le schéma corporel.
La confiance en soi est importante pour aller vers les autres, élargir son réseau social, se faire des amis,…
Le schéma corporel est intéressant non seulement pour exprimer les besoins fonctionnels (douleur par exemple) mais aussi pour parler de sexualité (contraception,…).
À partir du schéma corporel, on pourrait aussi parler des différences entre hommes et femmes, de la puberté et de la contraception.
Évidemment en cas de demande d’un sujet ou d’un autre, il est préférable de l’écouter et de la respecter si celle-ci fait partie du sujet.
Pour ce qui est des sujets plus « sensibles » (comme les abus, par exemple), il serait peut-être intéressant de commencer par un débat pour écouter les avis de chacun avant d’aborder le sujet en tant que tel.
Suite à la mise en place de ces différentes informations, il serait peut-être possible de commencer à établir un « projet d’établissement » sur la vie affective et sexuelle avec le public et de le compléter/corriger avec les membres du centre par exemple.
Recherches sur la parentalité
ASPH: Parentalité des personnes avec une déficience intellectuelle
ASPH: Affectivité, sexualité et handicap
Bertrand Coppin: la parentalité des parents déficients intellectuels
Bertrand Coppin: déficience intellectuelle et parentalité
CAIRN: ce que disent les personnes déficientes intellectuelles de leur parentalité
Sisahm: désir d'enfant et parentalité chez les personnes déficientes intellectuelles
Les situations de parentalité au centre de services en déficience intellectuelle Mauricie/Centre-Du-Québec
Parentalité des personnes déficientes mentales
Résumé des recherches sur la parentalité. Pour éviter les répétitions, les renseignements ont été sélectionnés dans les textes qui fournissent les mêmes informations.